J'étais encore très jeune lorsque l'attentat à la bombe de Moscou s'est produit le 29 mars 2010. La nouvelle a été un choc, et j'ai été profondément attristé par la perte inutile de vies humaines.
L'attentat a eu lieu à la station de métro Lubyanka, en plein cœur de Moscou. Deux terroristes kamikazes ont déclenché des explosions à quelques minutes d'intervalle, tuant 40 personnes et en blessant plus de 100 autres. Les victimes étaient des gens ordinaires, allant au travail ou à l'école, comme vous et moi.
J'ai été particulièrement touché par l'histoire de Dasha, une jeune écolière qui a été tuée dans l'attentat. Elle n'avait que 15 ans et rentrait chez elle après l'école lorsqu'elle a été prise dans l'explosion. Sa mort est une tragédie insensée qui m'a rendu très en colère et impuissant.
À la suite de l'attentat, il y a eu une vague de frayeur et d'incertitude à Moscou. Les gens craignaient de faire des trajets en métro ou de se rassembler dans des lieux publics. Mais la population de Moscou a fait preuve de résilience et de solidarité, se soutenant mutuellement dans ces moments difficiles.
L'attentat de Moscou a été un rappel brutal de la fragilité de la vie et de la menace constante du terrorisme. Cela m'a fait prendre conscience de l'importance de chérir chaque instant et de me dire à mes proches à quel point je les aime.
Aujourd'hui, 12 ans après l'attentat, nous devons nous souvenir des victimes et tirer les leçons de cette tragédie. Nous devons continuer à lutter contre le terrorisme sous toutes ses formes et à travailler ensemble pour construire un monde plus sûr pour les générations futures.