Famalicão, un club qui monte, qui monte, qui monte...




Vous avez peut-être entendu parler du FC Famalicão, ce club de football portugais qui fait parler de lui ces derniers temps. Et pour cause, les résultats sont là : le club est actuellement en tête de la deuxième division portugaise et est bien parti pour une montée en première division la saison prochaine. Mais d'où vient ce succès soudain ?
L'histoire commence en 2018, lorsque le club est racheté par un groupe d'investisseurs emmené par l'ancien international portugais Paulo Futre. L'objectif est clair : faire de Famalicão un club de premier plan au Portugal. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que les moyens sont mis : recrutement de joueurs expérimentés (comme Ricardo Horta ou Rúben Amorim), construction d'un nouveau stade et mise en place d'une académie de formation de jeunes.
Les résultats ne se font pas attendre : dès la saison 2018-2019, Famalicão termine quatrième de deuxième division et atteint les demi-finales de la Coupe de la Ligue. La saison suivante, le club termine deuxième et accède aux barrages pour la montée en première division, mais s'incline face au FC Paços de Ferreira.
Mais cette saison, c'est la bonne : Famalicão caracole en tête de la deuxième division et semble bien parti pour accéder à la première division. Les raisons de ce succès sont multiples :
* Un effectif de qualité, composé de joueurs expérimentés et de jeunes talents prometteurs.
* Un entraîneur compétent, João Pedro Sousa, qui a su tirer le meilleur de son groupe.
* Un soutien financier solide, qui permet au club de se renforcer et de recruter des joueurs de qualité.
* Une ambiance positive et une forte identité, qui font de Famalicão un club apprécié de ses supporters.
Si Famalicão continue sur cette lancée, le club pourrait bien devenir une force majeure du football portugais dans les années à venir. En tout cas, les supporters sont déjà aux anges et attendent avec impatience la montée en première division. "Famalicão, un club qui monte, qui monte, qui monte...", chantent-ils à tue-tête dans les stades. Et ce n'est pas fini !