Inondations Rennes : quand la ville se submerge sous les eaux
Hé toi, t'as vu Rennes ces derniers jours ? C'était genre le lac du Bourget, mais en pire ! L'eau était tellement haute qu'on aurait pu faire du kayak dans la rue de Châteaudun. Enfin, presque, parce qu'avec le courant, on aurait fini à Nantes en deux coups de pagaie.
Mais bon, faut pas déconner, c'était sérieux quand même. Des voitures flottantes, des caves inondées, des gens coincés chez eux... Bref, la totale ! Et le pire, c'est que ça arrive de plus en plus souvent. Le changement climatique, tu vois. Les rivières qui débordent, les pluies diluviennes, tout ça, c'est la conséquence de nos modes de vie.
Je sais pas toi, mais moi, ça m'a fait un choc. Parce que Rennes, c'est ma ville, celle où j'ai grandi, celle que j'aime. Et la voir ainsi, submergée, ça m'a fait mal au cœur. Comme si une partie de moi disparaissait sous les flots.
Alors, c'est sûr, on peut toujours essayer de protéger la ville, construire des digues, des bassins de rétention. Mais ça ne suffit pas. Parce que le problème, c'est à la source qu'il faut le traiter. Réduire les émissions de gaz à effet de serre, passer aux énergies renouvelables, changer nos habitudes de consommation... C'est pas facile, c'est sûr. Mais c'est vital.
Parce que si on continue comme ça, dans 10 ans, Rennes sera peut-être une ville fantôme. Une ville engloutie par les eaux. Et là, je te garantis qu'on regrettera amèrement de ne pas avoir agi plus tôt.
Alors, à tous ceux qui se disent que ça ne les concerne pas, que les inondations, c'est le problème des autres, je leur dis : réveillez-vous ! Le problème, c'est le nôtre. C'est celui de nos enfants. Et c'est maintenant qu'il faut agir. Parce que demain, il sera peut-être trop tard.