Le 8 mai, un jour comme les autres... ou presque. C'est un jour de commémoration, de souvenir. Un jour où l'on se remémore les sacrifices de ceux qui ont combattu pour notre liberté, pour notre indépendance. Un jour où l'on célèbre la victoire du bien sur le mal.
Mais le 8 mai, c'est aussi un jour de fête. Un jour où l'on se retrouve en famille, entre amis, pour partager un moment de convivialité. Un jour où l'on profite du beau temps, où l'on s'amuse, où l'on se détend.
Le 8 mai, c'est un jour de contraste. Un jour où l'on se souvient des horreurs de la guerre, mais aussi un jour où l'on célèbre la vie. Un jour où l'on pense à ceux qui sont tombés, mais aussi un jour où l'on se réjouit de la paix retrouvée.
Le 8 mai, c'est un jour unique. Un jour où se mêlent la tristesse et la joie, le souvenir et la fête. Un jour où l'on se rappelle d'où l'on vient, mais aussi un jour où l'on regarde vers l'avenir.
Le 8 mai, c'est un jour à part. Un jour qui nous invite à réfléchir sur le passé, le présent et l'avenir. Un jour qui nous rappelle que la paix est précieuse, que la liberté est fragile et que la vie est belle.
Je me souviens du 8 mai 1945. J'avais 10 ans. Je me trouvais à l'école, lorsque l'instituteur est entré dans la classe et nous a annoncé la victoire. C'était la joie, l'euphorie. On s'est tous mis à chanter et à danser. On s'est tous embrassés. On était tous heureux.
Mais le lendemain, l'euphorie est retombée. On a commencé à réaliser ce qui s'était passé. On a commencé à comprendre l'horreur de la guerre. On a commencé à pleurer ceux qui étaient tombés.
Le 8 mai, c'est un jour de joie et de tristesse. Un jour de fête et de recueillement. Un jour où l'on se souvient des horreurs de la guerre, mais aussi un jour où l'on célèbre la victoire de la paix.
Le 8 mai, c'est un jour à ne jamais oublier. Un jour qui nous rappelle que la paix est précieuse, que la liberté est fragile et que la vie est belle.