Les confessions de Liesbeth Homans
Je me souviens encore de la première fois que j'ai rencontré Liesbeth Homans. C'était en 2013, lors des élections communales à Anvers. J'étais reporter pour un petit journal local et j'ai été chargé d'interviewer la tête de liste de la N-VA.
Je m'attendais à rencontrer une femme dure et autoritaire, comme on la décrivait si souvent dans les médias. Mais la Liesbeth Homans que j'ai rencontrée ce jour-là était tout sauf ça. C'était une femme chaleureuse, sympathique et très intelligente.
Nous avons parlé de nos familles, de nos rêves et de nos espoirs pour l'avenir. J'ai été surpris de constater à quel point nous avions des points communs, malgré nos différences politiques.
Au fur et à mesure que je la connaissais, j'ai découvert une femme complexe et fascinante. C'est une femme qui croit profondément en ses convictions, mais qui est également prête à écouter les opinions des autres. C'est une femme de caractère, mais elle a aussi un grand sens de l'humour.
Liesbeth Homans est une femme de son temps. Elle est ambitieuse, travailleuse et déterminée. Elle est aussi une femme de cœur, qui se soucie profondément de son pays et de ses habitants.
Ce n'est pas une femme parfaite. Elle a commis des erreurs, comme nous tous. Mais c'est une femme qui a consacré sa vie à rendre le monde meilleur. C'est une femme qui mérite notre respect.
On peut être d'accord ou non avec ses idées politiques, mais on ne peut nier qu'elle soit une femme extraordinaire. Elle est un modèle pour toutes les femmes qui aspirent à faire une différence dans le monde.
J'ai eu la chance de connaître Liesbeth Homans et de travailler avec elle. C'est une femme que j'admire et que je respecte. Je suis convaincu qu'elle continuera à jouer un rôle majeur dans la politique belge pendant de nombreuses années à venir.