Mariann Bude, l'artiste des Hauts-de-France qui donne vie à la récup




Dans son atelier situé au cœur des Hauts-de-France, Mariann Bude s'adonne à une passion peu commune : donner une seconde vie aux objets destinés à la poubelle. Cette artiste touche-à-tout a fait de la récupération son art, créant des œuvres étonnantes et uniques qui ont déjà séduit de nombreux amateurs d'art.


« J'aime trouver des objets qui ont une histoire, qui ont déjà vécu », explique Mariann Bude. « Je les regarde, je les touche, je les retourne dans tous les sens, et petit à petit, une idée vient. »


L'artiste utilise une grande variété de matériaux : des vieux meubles, des jouets cassés, des bouts de tissu, des mécanismes horlogers... « Je n'ai pas de limite, tout peut m'inspirer », souligne-t-elle. « J'aime travailler avec des objets qui ont déjà une certaine patine, qui ont été marqués par le temps. »


Les œuvres de Mariann Bude sont souvent des assemblages insolites, où les objets du quotidien se transforment en sculptures poétiques ou en tableaux surréalistes. « J'aime créer des univers différents, des mondes imaginaires », explique-t-elle. « J'aime que mes œuvres suscitent l'étonnement, qu'elles fassent sourire ou réfléchir. »


L'artiste a récemment exposé ses œuvres dans une galerie parisienne, où elles ont rencontré un franc succès. « Je suis très heureuse de voir que mon travail plaît », confie Mariann Bude. « Cela me donne envie de continuer à créer, à explorer de nouvelles voies. »


Mariann Bude est une artiste passionnée et généreuse, qui partage son savoir-faire avec plaisir. Elle anime régulièrement des ateliers de récupération créative, où elle transmet sa passion à d'autres. « Je suis convaincue que tout le monde peut être créatif », assure-t-elle. « Il suffit d'un peu d'imagination et de beaucoup d'amour. »


L'artiste espère que son travail contribuera à sensibiliser le public à la question du recyclage et de la réutilisation. « Nous devons tous prendre conscience que les déchets peuvent être une source inépuisable de créativité », conclut-elle. « En donnant une seconde vie aux objets, nous participons à la protection de notre planète. »