J'ai découvert ce mot il y a quelques années, lors d'un voyage au Cameroun. J'étais en train de discuter avec une vieille femme dans un village reculé. Elle me parlait de sa vie, de ses rêves, de ses espoirs. À un moment donné, elle a prononcé le mot "nguemo". C'est comme si une lumière s'était allumée dans ma tête. J'ai compris que ce mot exprimait parfaitement ce que je ressentais à ce moment-là : un désir profond de vivre, d'aimer, de découvrir le monde.
Depuis ce jour, j'utilise le mot "nguemo" dans toutes mes conversations. Je l'utilise pour exprimer mes envies, mes rêves, mes aspirations. C'est un mot qui me donne de la force, qui me pousse à aller de l'avant. C'est aussi un mot qui me rapproche des autres. Quand je dis "nguemo", je sens que je partage quelque chose de profond avec la personne qui m'écoute.
Le nguemo de l'amour, c'est le désir d'être aimé, de partager sa vie avec quelqu'un. C'est un désir universel, qui nous anime tous. C'est un désir qui peut être passionné, romantique, tendre ou sensuel. C'est un désir qui nous pousse à nous ouvrir aux autres, à nous rendre vulnérables.
Le nguemo de la connaissance, c'est le désir d'apprendre, de découvrir le monde. C'est un désir qui nous pousse à lire, à voyager, à rencontrer de nouvelles personnes. C'est un désir qui nous rend curieux, ouverts d'esprit, avides de savoir. C'est un désir qui nous permet de grandir, d'évoluer, de devenir de meilleures personnes.
Le nguemo du pouvoir, c'est le désir de contrôler, de dominer les autres. C'est un désir dangereux, qui peut conduire à la violence, à la guerre, à l'oppression. C'est un désir qui nous éloigne des autres, qui nous isole. C'est un désir qui nous rend malheureux, car il est impossible à satisfaire.