Si vous prenez régulièrement la RER C, vous savez que les pannes font partie intégrante de votre quotidien. Il n'est pas rare de devoir patienter une heure, voire plus, sur le quai, en attendant qu'un train daigne enfin arriver. Et quand il finit par arriver, il est bondé au point qu'on se demande comment on va pouvoir y entrer.
Mais le pire, c'est quand les pannes sont annoncées au dernier moment. On arrive à la gare, on voit que notre train est supprimé, et on doit se rabattre sur un autre moyen de transport. Mais là encore, c'est la galère : les bus sont bondés, les taxis sont hors de prix... Bref, c'est la crise.
Les pannes, c'est déjà bien embêtant. Mais les retards, c'est encore pire. On attend son train, on attend, on attend... Et quand il arrive enfin, il a une demi-heure de retard. Résultat : on arrive en retard au travail, à l'école ou à un rendez-vous important. Et là, on a l'air de quoi ?
Comme si les pannes et les retards ne suffisaient pas, il faut aussi ajouter les rames bondées. On se retrouve serrés comme des sardines, on suffoque, on transpire... C'est un véritable enfer.
Et le pire, c'est que les rames sont souvent sales. On trouve des mégots de cigarettes, des papiers gras... C'est vraiment dégueulasse.
Quand on a un problème avec la RER C, on se tourne vers le personnel. Mais là encore, c'est la déception. Le personnel est souvent désagréable, voire même agressif. On a l'impression de les déranger.
Et quand on demande des informations, on se fait souvent répondre par des "je ne sais pas" ou des "je ne peux pas vous aider". C'est vraiment énervant.
Tout ça, c'est bien beau, mais ça a un prix. Et quel prix ! Les tarifs de la RER C sont exorbitants. On paye une fortune pour un service qui est nul.
C'est vraiment injuste. Les usagers de la RER C sont pris en otage par la SNCF. On nous fait payer un service de mauvaise qualité, et on nous traite comme des moins que rien.
La RER C, c'est l'enfer. Pannes, retards, rames bondées, personnel désagréable, tarifs exorbitants... On a tout connu. C'est un véritable cauchemar.
Si vous avez la chance de ne pas prendre la RER C, profitez-en. Vous ne savez pas ce que vous manquez.