Shirel Golan : une voix qui s'est éteinte trop tôt




La jeune Shirel Golan, survivante de la tuerie du festival Nova, a mis fin à ses jours le jour de son 22e anniversaire. Cette tragédie nous rappelle le poids des traumatismes et l'importance de soutenir les victimes de violence.
Shirel Golan était une jeune femme pleine de vie et d'espoir. Elle avait échappé à la mort lors de l'attentat terroriste qui avait coûté la vie à plus de 1200 personnes en octobre dernier. Mais le souvenir de cette nuit tragique ne l'a jamais quittée.
Depuis l'attentat, Shirel souffrait de troubles de stress post-traumatiques. Elle avait été hospitalisée à plusieurs reprises et avait du mal à reprendre une vie normale. Sa famille et ses amis ont tout essayé pour l'aider, mais rien n'y a fait.
Le jour de son 22e anniversaire, Shirel a décidé de mettre fin à ses jours. Elle a laissé une lettre dans laquelle elle expliquait qu'elle ne pouvait plus supporter le fardeau de ses souvenirs.
La mort de Shirel est une tragédie immense. Elle nous rappelle que les traumatismes peuvent avoir des conséquences dévastatrices, même des années après les événements. Il est essentiel de soutenir les victimes de violence et de leur apporter toute l'aide dont elles ont besoin pour surmonter leurs souffrances.
Nous devons également nous souvenir de Shirel Golan et de toutes les autres victimes du terrorisme. Leur mémoire doit nous inspirer à lutter contre la violence et à construire un monde meilleur.