Taxe lapin : quand Gabriel Attal se prend les pattes dans le tapis




Vous en avez entendu parler, c'est la nouvelle lubie de notre cher ministre des Comptes publics : la taxe lapin.

Le principe est simple : pour lutter contre la prolifération des lapins de garenne, qui causent des dégâts considérables aux cultures et aux infrastructures, le gouvernement a décidé d'imposer une taxe aux propriétaires de terres possédant plus de 50 hectares.

Mais voilà, cette mesure bien intentionnée a rapidement fait grincer des dents.

D'abord, parce qu'elle s'attaque aux mauvais lapins. En effet, ce sont les lapins sauvages qui sont responsables des dégâts, pas les lapins domestiques élevés par les particuliers dans leur jardin.

Ensuite, parce que cette taxe est perçue comme une punition injuste pour les propriétaires terriens, qui n'ont pas demandé à avoir des lapins sur leurs terres.

Enfin, parce que cette mesure est tout simplement inefficace. Les lapins sont des animaux très prolifiques, et une taxe ne les empêchera pas de se reproduire.

Face à la polémique, Gabriel Attal a tenté de se justifier en expliquant que cette taxe était nécessaire pour "responsabiliser" les propriétaires terriens. Mais sa défense a été mal accueillie, et le ministre s'est même fait traiter de "lapin crétin" par l'opposition.

La taxe lapin est donc un bel exemple de mesure mal pensée, qui risque de faire plus de mal que de bien.

Espérons que le gouvernement reviendra sur sa décision, avant que cette taxe ne devienne un véritable boulet pour les propriétaires terriens.

En attendant, je vous propose quelques solutions alternatives pour lutter contre la prolifération des lapins :

  • Stériliser les lapins sauvages
  • Créer des zones de chasse
  • Promouvoir l'utilisation de clôtures anti-lapins

Ces solutions sont certes moins faciles à mettre en œuvre qu'une simple taxe, mais elles sont beaucoup plus efficaces et respectueuses des propriétaires terriens.

Alors, que Gabriel Attal prenne exemple sur le lapin malin et change de stratégie !