Alors que le Forum économique mondial se déroule à Davos, en Suisse, le président Trump ne semble pas disposé à y assister. Il a exprimé sa préoccupation quant à la sécurité et l'efficacité du forum, indiquant qu'il n'était pas convaincu que sa présence apporterait une contribution significative.
L'absence de Trump à Davos est perçue par certains comme un signe de son isolement croissant sur la scène mondiale. On reproche au président de se couper des alliés traditionnels des États-Unis et de se concentrer sur le renforcement des liens avec des puissances autoritaires comme la Russie et la Chine.
Cependant, les partisans de Trump soutiennent que son absence à Davos est un signe de son pragmatisme. Ils affirment que le forum est un lieu de bavardage et de gesticulation, et que Trump préfère se concentrer sur des questions plus urgentes, comme l'économie et la sécurité nationale.
Que Trump ait raison ou non de ne pas assister à Davos, son absence est un rappel de la fracture croissante entre les États-Unis et l'Europe. Les deux continents sont en désaccord sur un certain nombre de questions, notamment le commerce, le changement climatique et l'immigration. Cette fracture se creuse, et il n'est pas clair comment elle sera comblée.
L'absence de Trump à Davos est également un rappel des divisions au sein des États-Unis. Le pays est profondément divisé sur un certain nombre de questions, notamment l'immigration, les soins de santé et l'économie. Ces divisions sont exacerbées par la rhétorique de Trump, qui n'a pas hésité à cibler ses opposants.
L'avenir de Davos est incertain. Le forum est confronté à un certain nombre de défis, notamment à la montée du populisme et au déclin de la mondialisation. Il reste à voir si Davos continuera à être un lieu de dialogue et de coopération, ou s'il deviendra un vestige d'une époque révolue.